
(function(){/* Copyright The Closure Library Authors. SPDX-License-Identifier: Apache-2.0 */ var l="function"==typeof Object.create?Object.create:function(a){function b(){}b.prototype=a;return new b},m;if("function"==typeof Object.setPrototypeOf)m=Object.setPrototypeOf;else{var n;a:{var p={a:!0},q={};try{q.__proto__=p;n=q.a;break a}catch(a){}n=!1}m=n?function(a,b){a.__proto__=b;if(a.__proto__!==b)throw new TypeError(a+" is not extensible");return a}:null}var r=m,t=this||self;var u=new function(a,b){this.key=a;this.defaultValue=void 0===b?0:b;this.valueType="number"}("100004",16E3);var v=Array.prototype.indexOf?function(a,b){return Array.prototype.indexOf.call(a,b,void 0)}:function(a,b){if("string"===typeof a)return"string"!==typeof b||1!=b.length?-1:a.indexOf(b,0);for(var d=0;de?encodeURIComponent(U(a,b,d,c,e+1)):"...";return encodeURIComponent(String(a))};function W(a,b){this.g=a;this.depth=b}function X(){function a(h,k){return null==h?k:h}var b=R(),d=Math.max(b.length-1,0),c=Q(b);b=c.i;var e=c.j,f=c.g,g=[];f&&g.push(new W([f.url,f.h?2:0],a(f.depth,1)));e&&e!=f&&g.push(new W([e.url,2],0));b.url&&b!=f&&g.push(new W([b.url,0],a(b.depth,d)));c=x(g,function(h,k){return g.slice(0,g.length-k)});!b.url||(f||e)&&b!=f||(e=D(b.url))&&c.push([new W([e,1],a(b.depth,d))]);c.push([]);return x(c,function(h){return Y(d,h)})} function Y(a,b){var d=y(b,function(e,f){return Math.max(e,f.depth)},-1),c=z(d+2);c[0]=a;w(b,function(e){return c[e.depth+1]=e.g});return c}function Z(){var a=X();return x(a,function(b){return V(b)})};G=75; window.rfl=function(a){try{var b=Number(0===(I()||0)?2083:I()),d=Z();d.pop();var c=b-a.length-5;for(b=0;b
Comme bien d’autres entreprises québécoises, notre usine doit jongler entre la forte demande pour nos produits et le manque de personnel pour y répondre. Nous avons espoir que cette hausse salariale et nos excellentes conditions de travail attireront suffisamment de candidats potentiels pour regagner notre rythme de production», a indiqué mercredi le directeur de l’usine, Jean-François Paquette.
Concrètement, le salaire horaire d’entrée passe de 14,75 $ à 18,00 $, auquel s’ajoute une prime horaire de 2 $ pour les quarts de soir, pour un salaire total de 20 $/heure et de 3 $ pour ceux de nuit, pour un salaire total de 21 $ l'heure. Et différents avantages ont été convenus, que ce soit des primes de référencement ou une progression rapide dans les échelles salariales, pour ne nommer que ceux-là.
«C’est le plus beau cadeau que je pouvais offrir à mes collègues de travail en ce moment», a confié le président syndical par intérim, Miguel Bélanger.
Et il y a peu de prérequis: pas de secondaire 5, pas d’examens médicaux (seulement la mention des limitations physiques), besoin de minutie pour plusieurs postes (pour assemblage de petits modules électroniques).