Et si on engageait un robot?

La location, une autre avenue à envisager pour l’automatisation. L’automatisation peut faire peur à des PME qui aimeraient bien en retirer les avantages en cette ère de pénurie de main-d’œuvre… mais qui ne disposent pas nécessairement des capitaux pour investir massivement dans des robots industriels et n’ont pas de vastes connaissances en la matière.

C’est le marché que vise Probot Systems, une entreprise de Lévis qui offre un service clé en main de location de robots industriels.

« Et si on engageait un robot? » est la devise du directeur du développement des affaires de Probot, Vincent Bourque-Veilleux, avec qui le Magazine MCI a discuté en entrevue.

Le modèle d’affaires qu’il met de l’avant est simple. Si vous avez un ou plusieurs postes vacants que vous n’arrivez pas à combler, vous pourriez louer un robot qui effectuerait ces tâches – de la palettisation par exemple – à un taux horaire similaire à ce que vous paieriez à un employé.

Et comme pour un employé, l’entreprise cliente ne paie le robot que pour les heures pendant lesquelles il est au travail, précise le président fondateur de Probot, Pierre-Étienne Germain.

D’autre part, la location permet à une entreprise manufacturière de consacrer les capitaux qui auraient servi à l’achat de robots à d’autres volets de son développement corporatif. « Vous aurez le privilège de ne pas tout payer d’avance », résume Aaron Gillespie, associé, KPMG Entreprise, Fiscalité, KPMG au Canada, lorsque consulté sur la question.

Pour lire l'article complet : https://magazinemci.com/2022/12/14/et-si-on-engageait-un-robot/?mc_cid=8240ef1d0b&mc_eid=31d52ab85f

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